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Mousquetaire DEG II

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CHAP II

Titre : un pour tous et tous pour un !

Genre : les mousquetaires à la Dir en Grey

Pairing : aucun de ces persos m’appartient… mais je les aime quand même !!! >__<

Notes de l’auteur : euh.. faut imaginer les Dir en Grey en mousquetaires… ils ont aussi des montres qui donnent l’heure et des brosses à dents ! bin koi ? c’est important les brosses à dents ! ^^ ;;;;;;;;

 

UN POUR TOUS ET TOUS POUR UN !

 

 

Dayatos et Kaoportos ne parvenant pas à dormir à cause des deux autres, ils décidèrent d’aller faire un tour dans les couloirs pour discuter. « Tu as vu la tête du garde ? Je me demande à quoi ressemble son maître… Il doit être aussi laid et grognon que lui…

-        C’est bizarre qu’on ne l’ai même pas aperçu, c’est quand même lui qui nous héberge, j’aimerais le voir pour le remercier de nous avoir offert l’hospitalité.

-        On pourrait visiter le château, on finira bien par tomber sur sa chambre

-        Heu…Dayatos… Tu sais quelle heure il est ? On ne débarque pas comme ça dans la chambre d’un inconnu !

-        Ah oui, j’avais pas pensé… » Ils marchèrent au hasard dans les couloirs, éclairés par la faible lueur d’une bougie. Ils arrivèrent devant un escaliers étroit en colimaçon. Leur source de lumière ne suffisant pas à dévoiler le lieu, Kaoportos entreprit de monter les escaliers pour savoir ce qui s’y trouvait plus haut. Dayatos, un peu effrayé, mit plus de temps à monter les marches mais accéléra suffisamment pour se retrouver collé au dos de Kaoportos.

 

***

 

« Pfff, j’en ai marre ! Pourquoi tu nous as amenés ici ?

-        Je ne t’ai jamais obligé à me suivre ! Et puis arrête un peu de râler ! C’est vraiment énervant… tais-toi un peu ! ça fait un quart d’heure que t’arrêtes pas de te plaindre ! » Dayatos prit son air boudeur et se retint de parler à partir de ce moment. Kaoportos, soulagé de ce silence soudain respira à fond avant de s’engouffrer dans un couloir humide et couverts de toiles d’araignées. « Je t’ai demandé de te taire ! Pas de chanter ! lança vivement Kaoportos en se retournant vers son ami

-        Quoi ? Mais je ne chante pas ! Où est-ce que tu entends quelqu’un chanter toi ? Tu dérailles mon pauvre vieux !

-        Ne me dis pas que tu ne chantais pas !

-        Bin… peut-être que quelqu’un a chanté mais ce n’était pas moi !

-        Chut ! ça recommence… » le coupa Kaoportos en portant un doigt à ses lèvres.

Ils avancèrent doucement vers la douce mélodie, retenant leur souffle. Ils restèrent bouche-bée devant la scène qui s’offrait à leurs yeux. Un corps frêle vêtu d’un voile fin immaculé laissait une voix pure s’échapper de sa gorge. Adossée au mur, la forme laissait le vent jouer avec sa robe, elle se soulevait et retombait à chaque courant d’air. Dayatos et Kaoportos ne parlait pas, ils observaient. Etant arrivés par derrière, la forme ne se douta pas de leur présence. Dayatos ne pouvait plus lâcher ce corps frêle des yeux. La crinière flamboyante qui caressait les douces épaules nues semblait appeler le mousquetaire. Il ne résista pas longtemps et s’approcha. Avant qu’il n’ai eut le temps de toucher les mèches rousses dansantes, un visage fin lui fit face. Leurs deux visages se touchaient presque, leurs souffles se mêlaient et semblaient faire naître quelque chose entre eux, comme si leur respiration les aidait à se rapprocher. Kaoportos ne comprenait pas ce qu’il se passait mais ne disait rien, ne voulant briser la scène qui se déroulait devant ses yeux ébahis. Sans qu’ils ne comprennent ni comment ni pourquoi, leurs bouches s’étaient rejointes et aucun de deux corps ne semblait repousser l’autre ou même reculer. Ils restèrent ainsi un long moment, Dayatos semblait envoûté par le charme que dégageait la forme, et cette dernière semblait reprendre vie chaque seconde, se nourrissant du baiser que lui offrait Dayatos. Kaoportos, effrayé, se décida à faire quelque chose. Il attrapa donc le bras de son ami et le tira vers lui brusquement. Dayatos ne réagit pas. Il se remit simplement en face de ce visage pur après avoir dégagé son bras de l’emprise de Kaoportos. Il semblait fasciné par ses yeux, retraçant chaque trait de son visage du bout des doigts, et calant inconsciemment sa respiration sur la sienne. Puis, Kaoportos, se résigna à utiliser les coutumes d’usage pour faire les présentations, histoire de faire avancer les choses :

« Bonsoir belle damoiselle ! Je suis Kaoportos, et voici Dayatos, un fidèle ami. Nous passons la nuit ici, peut-être est-ce vous qui nous permettez de loger dans un endroit si… particulier !? 

-        Non, je ne suis que le fils de mon père Yoshiki, propriétaire de ce château, je m’appelle Shinya et je ne suis pas une demoiselle, quoi que mes traits vous le fasse croire. » Dayatos lança un regard noir à son ami, craignant d’avoir vexé celui avec qui il venait de partager un baiser. « Ne vous en faites pas, vous n’êtes pas les premiers et sûrement pas les derniers à vous tromper. Puis-je me rendre utile et vous être agréable messieurs ?

-        Serait-il possible de rencontrer Yosh… votre père !? J’aimerais le remercier de nous avoir offert l’hospitalité pour la nuit » répondit Kaoportos tout à coup pressé. Les autres ne se doutaient pas du fond de sa pensée, comment auraient-ils pu se douter de quoi que ce soit de toute façon ? Ils étaient bien trop occupés à se lancer des regards langoureux qui en disaient long sur leurs pensées.

« Oui, bien sûr, il ne doit pas encore dormir, d’habitude à cette heure-là il est dans les écuries avec nos chevaux, il s’en occuperait jour et nuit s’il le fallait.

-        Pourriez-vous m’y conduire je vous prie ? C’est vraiment important !

-        Suivez-moi alors ! » défia Shinya en attrapant le poignet de Dayatos et de s’élancer dans l’escaliers qu’ils avaient grimpé quelques minutes auparavant.

 

***

 

« Où est Kaoportos ?

-        Il est resté avec le maître des lieux dans les écuries, répondit Dayatos à Dartakyo

-        Et qu’est-ce qu’il fait là-bas ?

-        Il voulait le rencontrer. Il a même été encore plus pressé de le voir quand il a entendu son nom… reprit pour lui même Shinya

-        C’était peut-être vraiment pour le remercier, tout simplement. Je ne vois pas pourquoi il nous aurait caché quelque chose… Mais c’est vrai que je n’ai jamais remercié quelqu’un de m’avoir accueilli à cette heure !

-        En parlant de l’heure, je vous propose de nous séparer pour que nous dormions un peu. Kaoportos n’est pas seul puisqu’il est avec mon père, je vous propose donc de rester ici et Dayatos viendrait avec moi, dit Shinya

-        Moi ça me va ! répondirent joyeusement les deux occupants du lit à baldaqin, visiblement heureux qu’on les laisse retourner à leurs occupations permières.

-        A moi aussi ça me va très bien » souffla Dayatos à l’oreille du roux, rassurant ce dernier qui n’avait pas laissé paraître son doute.

 

***

 

Le lendemain après-midi ils se retrouvèrent tous dans la salle dans laquelle ils avaient dîner la veille. Tous ? Non, pas tout à fait. Il manquait Kaoportos et Yoshiki. Shinya, étonné qu’il ne soit pas venus accueillir ses hôtes, alla jusqu’à la chambre de son père pour comprendre. En effet, il comprit vite pourquoi son père ne s’était pas encore réveillé. Il était allongé dans son lit, totalement nu, et il tenait Kaoportos, nu lui aussi, dans ses bras. Ils avaient de la paille dans le cheveux, souvenir du début de la nuit pensa Shinya. La couverture et les vêtements éparpillés au sol lui confirmèrent qu’ils n’avaient sûrement pas passé la nuit à dormir. Il revint avec ses nouveaux amis et s’assit sur les genoux de son amant avant de leur expliquer ce qu’il avait vu. « Ce Kaoportos ! On ne le changera jamais !!! s’exclama Dartakyo

-        Hum, tu peux parler toi ! lui lança Dayatos en le regardant

-        Mais moi c’est pas pareil, je souffre d’un complexe d’infériorité alors je me rattrape là où je peux ! » rétorqua le petit blond avec un large sourire, et ils éclatèrent tous de rire.

 

 

***

 

L’après-midi était déjà bien avancée et les quatre hommes n’arrivaient pas à décider de qui irait réveiller les deux autres « C’est ton père après tout ! C’est à toi d’y aller !

-        Non non non ! Je suis chez moi donc c’est moi qui décide ! C’est Toshiaramis qui les réveillera

-        Qu… Quoi ? Non ! Hors de question ! Je ne réveillerais jamais Kaoportos un lendemain de fête ! Justement, on est chez toi, donc c’est à toi de les réveiller !

-        Je n’irais jamais réveiller mon père ! En plus, s’il est au lit avec quelqu’un d’autre, je ne me permettrait pas d’entrer dans sa chambre !

-        Le problème est réglé je crois ! » Ils se retournèrent tous brusquement. C’était Kaoportos qui venait de parler. « Bonjour papa ! s’écria Shinya en s’élançant dans les bras de Yoshiki

-        Bonjour mon fils ! bien dormi ? lui demanda-t-il en lui donnant une tape sur l’épaule

-        Au moins autant que toi ! répondit Shinya fier de sa réponse

-        ……

-        Oh ! Regardez ! C’est extraordinaire !

-        Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? demandèrent tous les autres

-        Un papillon ! » s’exclama Kaoportos réussissant sa diversion à merveille… 30 secondes.

 

***

Le soir venu, ils étaient tous les six assis dans la forêt autour d’un énorme feu, Dartakyo assis entre les jambes de Toshiaramis qui le serrait dans ses bras, Dayatos était assis à côté de Shinya et lui tenait la taille quant à Yoshiki et Kaoportos, ce dernier avait la tête posée sur la cuisse de son amant, le dos au sol et regardant les étoiles. « On ne vous a même pas raconté comment on s’est connus ! s’exclama soudain Kaoportos.

-        Ah c’est pour ça que tu tenais absolument à voir papa ! Tu le connaissais !

-        Au début je ne le savais pas, mais quand tu as prononcé son nom, il fallait que je sache si c’était lui ou pas ! Et c’était bien lui, exactement le même ! dit Kaoportos en regardant Yoshiki d’une façon qui pouvait laisser penser qu’ils ne parlait pas d’un point de vue strictement physique.

-        Et si vous commenciez par le début… ? ironisa Shinya qui ne s’était jamais posé de question sur son père auparavant, il savait juste que sa mère les avait laissé tous les deux lorsqu’il était né mais n’en savait pas plus sur son passé ni celui de son père.

-        Et bien tout à commencé lorsque ton père et moi étions enfants. Nous avions la même nourrice qui nous gardait le jour et parfois la nuit. On s’est connus quand on était vraiment jeunes… et puis nous avons grandi ensemble, c’est comme si nous étions frères, ou même plus. Un jour, ou plutôt un soir, je venais de me faire rejeter par la fille du voisin. J’étais vraiment malheureux… Pas de m’être fait rejeter, mais je savais bien au fond de moi que ce n’était pas les filles qui me plaisaient mais je n’aurais jamais pu l’avouer à mes parents ! Et Kao est passé par là ce soir là, je m’étais caché derrière un arbre au bord du lac mais il avait du m’entendre pleurer donc il est venu me voir

-        Oui, c’est bien parce que je t’ai entendu pleurer que je suis venu jusqu’à toi. Mais je voulais aussi te parler.

-        Ah oui ? De quoi ? Et pourquoi ne l’as tu pas fait ?

-        Si tu te souviens bien, je n’ai pas tellement eu besoin de parler pour te faire comprendre ce que je ressentais pour toi…Yoshiki rougit au rappel de cette nuit là

-        Oui, je m’en souviens très bien même ! Et il embrassa Kaoportos

-        Je crois que tout le monde à deviner la suite de l’histoire ! lança Toshiaramis

-        Non, pas moi ! Je voudrais qu’on m’explique, insista Dartakyo

-        T’en fais pas, j’te montrerais ça cette nuit… lui répondit Toshiaramis avec un sourire coquin

-        Mais euh… papa, y’a quelque chose que j’ai pas compris

-        Oui ?

-        Bin… comment tu m’as eu si t’aimais pas les femmes !? » Le visage de Yoshiki se contracta subitement « Ce n’est pas un de mes meilleures souvenirs tu sais Shiny. Enfin, t’avoir eu a été l’un de mes plus grands bonheur, mais avant ta naissance, j’ai souffert… Quand notre ancienne nourrice, ancienne parce que lorsque c’est arrivé nous étions trop vieux pour être encore sous ses soins, donc je disais, lorsqu’elle s’est aperçue de ce qui se passait entre Kao et moi, pourtant nous avions bien essayé de le cacher, elle à averti mes parents et les siens… Nous avons été obligés de nous séparer et mes parents m’ont mariés de force à une étrangère. Je ne savais rien d’elle, juste qu’elle ne savait rien de Kao et moi. Et vous savez ce que représente le mariage, il faut avoir un enfant très vite pour assurer sa descendance et pour prouver à vos parents que vous n’aimez pas les hommes juste parce que vous êtes stérile ! Quelles idées ils avaient dans la tête à ce moment…

-        C’est pas si vieux que ça ! intervint Shinya

-        Bin… ton âge exactement ! lui répondit son père

-        Bien vu… je n’y avais pas pensé…

-        Et donc, lorsque tu es né, j’ai expliqué à ta mère que je ne voulais pas d’autres enfants pour diverses raisons. Elle a cru que je voulais l’humilier alors elle m’a quitté… mais elle a oublié quelque chose, enfin… quelqu’un ! Mais je crois qu’elle aurait très mal vécut le fait d’avoir un fils comme son père… » et il rit de bon cœur en imaginant la tête de la femme en question si elle découvrait la préférence de son fils pour les hommes… Les autres se joignirent à sa bonne humeur en réalisant qu’ils étaient trois couples 100% masculins.

 

***

 

« Bon, papa, je crois que c’est le moment idéal !

-        Quoi ? Le moment idéal pour quoi faire ?

-        Pour te demander quelque chose…

-        Ah ! Et quoi donc ?

-        MA BATTERIE euhhhhhhhhhhhhhh ! Quand est-ce que tu m’en paye une neuve ??? Tu sais bien que j’ai trop joué sur la dernière, elle ressemble plus à rien !

-        Tu joues de la batterie !? s’esclama Kaoportos

-        Bin… voui, répondit Shinya

-        Mais c’est parfait !!! Il nous manquait justement quelqu’un aux percussions !!! On pourrait t’entendre jouer ?

-        Bin oui, pourquoi pas ! Mais avant… il faudrait que j’en ai une en bon état !

-        Oui oui, bon, dès demain on ira t’en acheter une, la tienne peut bien durer jusqu’à demain non ?

-        Non ! j’en veux une maint’nant ! s’ilteuplait papaaaaaaaaaa ! Dis oui dis oui dis oui !

-        Non

-        Et pourquoi ?

-        Tu sais l’heure qu’il est ???

-        Oui mais je veux une batterie MAIN-TE-NANT !

-        Arrête de te plaindre ! C’est  pas comme ça que je t’ai élevé ! Tiens, si tu veux bouder tu n’a qu’à aller dans ta chambre ! Allez ! File ! Tu feras ton enfant gâté et capricieux un autre jour !

-        Mais ! Papa ! J’ai plus 10 ans !!!

-        C’est exactement ce que tu viens de nous prouver à l’instant en pleurnichant comme un bébé ! Allez, arrête de discuter ! » Shinya se dirigea la tête basse vers sa chambre en ronchonnant. Il avait quitté le petit groupe depuis moins de 5 minutes que Dayatos se leva et alla le rejoindre. Yoshiki ne dit rien, sachant qu’il n’aurait pas pu le retenir. Lorsqu’il arriva dans la chambre de son amant il ne fut pas surpris de le retrouver caché sous sa couette, les larmes aux yeux. Il s’assit sur le lit et prit Shinya dans ses bras pour le consoler. « Bin alors ma p’tite princesse ! Tu vas pas te laisser abattre pour si peu ! En plus il t’a dit que tu aurais une nouvelle batterie demain, ça devrait aller ! Mais si tu supportes pas l’idée d’attendre… J’peux trouver un moyen de te faire oublier tes malheurs…

-        Oh mon beau prince, tu trouves toujours les mots qu’il faut ! Dépêche toi de me faire oublier mon père si tu en es vraiment capable ! » Alors Dayatos se pencha sur son amant et l’embrassa tendrement. Dehors, les quatre hommes avaient continué à discuter, sauf Dartakyo qui tombait de fatigue. Toshiaramis se pencha vers son amant et lui glissa discrètement à l’oreille « Tu fais bien de te reposer maintenant, cette nuit tu n’en auras plus l’occasion… » A ces mots Dartakyo se leva brusquement et lui attrapa le poignet pour que Toshiaramis se lève à son tour. « Bon, tu as toute la nuit pour me prouver ce que tu viens de me dire, tu vas le regretter à mon avis… » Et ils partirent tous deux en courant vers leur chambre, un grand sourire aux lèvres. « Bon, et nous alors ? Qu’est-ce qu’on fait ?

-        On pourrait aller dormir… proposa malicieusement Kaoportos

-        Oui, on pourrait…

-        On pourrait aussi veiller toute la nuit en regardant le soleil se coucher sur le lac…

-        C’est envisageable…

-        On pourrait courir nus à travers la forêt en criant très fort…

-        Euh… Tu as beaucoup d’idées comme ça ? s’étonna Yoshiki

-        On pourrait aussi, tout simplement, passer la même nuit que la première qu’on a passé ensemble… répondit Kaoportos avec un petit sourire

-        Ah ! ça déjà, ça me plait plus ! dit Yoshiki en enlaçant tendrement son amant.

 

 

 

 

Bon, bin oila, c’est la fin de mon ‘histoire’ ^____^

Ça vous a plus ????

A moi oui ! ^_________________^

Je sais, je sais, il y a des incohérences… ç____ç

comme l’âge de Yoshiki, Kaoru  et Shinya par exemple mais…

on s’en fout !!! ^________________^

c’est une fic voui ou non ??? ^_______^

 

(je tiens à préciser que j’ai atteint les 42° pendant que j’écrivais… ça aide ^^ ;;;;)

(29 juillet 2004 ; 16h45 ; reprends une température normale… ou presque... ^____^)

 

yumi hu *révérence*

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