Titre : un pour tous et tous pour un !
Genre : les mousquetaires à la ‘Dir en Grey’
Pairing : aucun de ces persos m’appartient…ç___ç mais
je les aime quand même !!! >__<
Notes de l’auteur :
euh.. faut imaginer les Dir en Grey en mousquetaires… mais en mousquetaires avec des téléphones portables et tout et
tout ^^ ;;;;;;;;
UN POUR TOUS ET TOUS POUR UN !
Dartakyo se promenait tranquillement dans la forêt sur son énorme poney shetland lorsque son
téléphone portable sonna bruyamment, dérangeant tous les gentils animaux qui se reposaient autour du mousquetaire. Il décrocha
et parvint difficilement à articuler un « allo ». Il venait de rentrer de chez Dame Mana avec qui il avait passé
une nuit… agitée dirons-nous. La damoiselle le courtisait depuis plusieurs mois déjà, désespérant de se trouver un bon
époux ; à vrai dire, son strabisme ne l’aidait pas à se faire aimer. Dartakyo ne l’aimait pas, ils le savaient
tous deux, mais ils se voilaient la face, se volant mutuellement des moments courts de plaisir intense, rapidement remplacés
par une hypocrisie sans nom. Il venait donc de quitter la chaumière de la jeune fille que déjà ses amis le rappelaient à ses
obligations.
« Oula !!! Quelle voix ! Laisse moi deviner… tu as encore profité de Dame Mana ???
_ hé !
De quoi j’me mèle ! Primo : c’est ma vie, secundo… c’est ma vie ! et ne parle pas si
fort, je suis sur que tu pourrais raccrocher et me parler aussi fort que je t’entendrais aussi bien. »
Dayatos voulut tenter l’expérience et appuya sur le bouton rouge de son téléphone. Son ami ne lui répondant
pas, il en déduit qu’il avait tort et qu’il allait le lui faire savoir.
Il rappela donc Dartakyo :
« hé hé, tu avais tort !!! Ou alors tu es sourd…
__ Ne me
dis pas que tu viens d’essayer et que c’est pour ça que tu as raccroché !?
__ Bin…
si ! lui répondit Dayatos avec un sourire jusqu’aux oreilles
__ Tu m’effraieras toujours mon pauvre ami…
__ Reconnais que tu aurais été capable de le faire si tu avais été à ma place !!!
_ Oui bon ! Mais c’est pas une raison pour que tu me raccroches au
nez ! Et d’ailleurs, pourquoi tu m’appelles ?
__ Ah
oui c’est vrai, c’est moi qui t’ai appelé, je me demandais pourquoi tu n’engageais
pas la conversation aussi… ça aurait été bizarre que tu m’appelles si tu n’avais rien à me raconter ou à
me demander… Mais ça n’est pas le cas puisque c’est moi qui t’appelle !
_ STOP !!! Parle moins vite s’il te plait…
_ Hi
hi, on dirait que tu as trèèèèès mal à la tête !!! Tu n’aurais pas bu un peu plus que de raison
hier soir…
_ Oui bon ça va !!! Tu crois vraiment que la p’tite Mana m’intéresserait
si j’étais dans un état normal !?
_ Oui, je reconnais que ça doit être très difficile de te convaincre de faire sa fête
à une jeune demoiselle… encore pucelle avant que tu la rencontres ! » ajouta-t-il sèchement
_ Oh ça
va ! …Combien de fois vais-je devoir te poser la question ??? POURQUOI M’APPELLES-TU ?
_ Ah oui c’est vrai. Attends… J’ai un trou de mémoire…
_ QUOI !? Tu ne vas quand même pas me dire que tu m’as dérangé pour RIEN ?
_ Ah ! ça me revient ! Kaoportos et moi-même avions prévu de
prendre quelques vacances bien méritées !
_ Quelle bonne idée !!! Et Toshiaramis sera de la partie ? demanda Dartakyo
soudain inquiet
_ Bien sûr ! Quelle coïncidence !!! Il m’a demandé la même chose quand
je lui ai fait part de notre plan… Vous êtes bizarres tous les deux ! » Avant de laisser le temps à son ami,
troublé par sa déclaration, de répondre, Dayatos continua « bon, c’est oui alors ?
_ Hein !? Heu… Oui ! Oui oui ! se reprit rapidement le petit mousquetaire.
_ Ok ! Bon, on part cette après-midi ! Rendez-vous à 14h30 pétantes
à peu près devant l’auberge !
_ A 14h30 pétantes à peu près ? répéta Dartakyo incrédule
_ Oui c’est ça, tu as tout compris répondit-il sans se démonter
_ Dayatos, un jour il faudra que je t’explique certaines choses…
affirma Dartakyo en secouant la tête de droite à gauche puis de gauche à droite alternativement des deux côtés. (vous suivez
toujours ? j’espère parce que… c’est pas fini !!!)
_ Oh oui ! Comme ta recette de porc au curry par exemple !!! Je trouve ça
délicieux mais je suis incapable de le réussir aussi bien que toi !
_ Oui oui Dayatos, ça aussi je te l’expliquerais un jour… Bon, je dois me
préparer maintenant, tu raccroches ?
_ Oh non ! Tu sais bien à quel point je déteste raccrocher !!!
_ Dans ce cas, je vais le faire
_ Non s’il te plait ! Reste encore un peu, j’ai plein de chose à te raconter !!! Par exemple…
Et il perdit son sourire, se rendant compte qu’il parlait dans le vide.
***
A 14h30 précises environ les 4 amis (c’est à dire les 3 mousquetaires) se retrouvaient devant l’auberge
indiquée. Ils n’étaient pas passés discrètement au milieu de la foule et des badauds.
Toshiyaramis s’était paré d’un corset vert et noir à lanières de cuir, Kaoportos n’avait pas
réussi à dissimuler ses mèches roses dans sa capuche, Dayatos passait son temps à répéter d’une forte voix qu ‘ils
n’auraient pas dû se retrouver dans cet endroit plein de curieux mal-nourris, provoquant des regards noirs dans sa direction,
et Dartakyo passait pour un nain jaune sur sa monture ridicule à la crinière hirsute… Ils se mirent rapidement en route,
ne s’arrêtant que pour permettre à Kaoportos de fouiller ses poches avant de vider son sac au sol pour retrouver son
paquet de cigarettes. Une fois ses affaires remises à leur place, il se rendit compte qu’il avait oublier de prendre
son briquet. Dayatos, visiblement excédé de la lenteur de son ami lui balança son briquet dans la figure pour faire avancer
les choses. Ils reprirent leur escapade dans la joie et la gaieté, Dartakyo mimant pour la énième fois la tête de Kaoportos
lorsqu’il avait reçu, surpris, le feu dans la joue, provoquant un mouvement de recul, entraînant (par a + b) une chute
l’amenant jusqu’au sol par la gravité terrestre de la Terre. Il rigolait moins que les autres, beaucoup moins,
mais était heureux d’avoir réussi à allumer sa cigarette. Ils traversèrent la forêt jusqu’à la nuit tombante et
s’arrêtèrent au bord d’un lac.
***
Dayatos s’était excusé auprès de Kaoportos et les choses avaient repris leur cour normal. Ils avaient
tous les quatre installés leur tente autour d’un grand feu et commençaient à faire rôtir deux lapins que Toshiaramis
venait de chasser. Enfin… il ne savait pas que ces lapins avaient été placés dans ses pièges après que Dartakyo les
ai attrapés et leur ai brisé la nuque. Personne ne lui dit rien tellement il semblait heureux d’avoir accompli cet exploit.
Après ce frugal repas, Kaoportos sortit sa guitare et enchaîna quelques accords, suivi par Dartakyo qui avait tout de suite
reconnu le morceau. Dayatos et Toshiaramis ne résistèrent pas et allèrent chercher leurs instruments. Ils jouèrent ainsi une
bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que Dartakyo n’ai plus de voix ni d’alcool. Ils décidèrent d’aller
dormir. Dayatos leur avait fait comprendre qu’ils devaient se lever tôt le lendemain pour reprendre la route assez vite.
Ils avaient tous acquiescé, n’en pensant pas moins. Dartakyo ne parvenait pas à dormir, les nuits en forêt ne lui avaient
jamais plues. Les ombres dansantes et les bruits divers le terrorisant littéralement ! Il avait à peine entendu une branche
craquer qu’il était sorti en vitesse de sa tente, se précipitant dans la première qui se présentait à lui. Il appela
pour savoir avec qui il allait passer la nuit. « Hé ! C’est qui ?
_ mmmmmmmm
_ hein ?
_ Toshiaramis j’t’ai dit ! qu’est-ce que tu fous là ?
_ Heu… » il cherchait une explication logique « Je me
suis dit que si on devait se lever tôt demain matin, j’aurais moins de mal en entendant tes ronflements ! lança-t-il
avec un sourire
_ Sale petit nain ! Sors d’ici tout de suite ! ordonna Toshiaramis
_ Nan… s’teuplait, laisse moi passer la nuit avec toi…
_ Hugphm ??? Et pourquoi tu veux passer la nuit avec
moi ??? demanda-t-il avec de grands yeux ronds
_ Bin… Tu vas te moquer de moi mais… j’ai peur tout seul la nuit
en forêt…
_ Mais non je ne vais pas me moquer de toi !!! J’dois t’avouer que j’aime pas sa non plus…
Allez ! viens contre moi, ça nous réchauffera en plus ! »
Dartakyo ne se le fit pas répéter deux fois et se précipita d’enfouir sa tête contre le torse de son ami
et de se lover dans le creux que ses bras lui offraient. Ils restèrent un moment ainsi, dans l’obscurité et le silence.
Enfin, relatif le silence, ils entendaient Kaoportos qui parlait dans son rêve et Dayatos rouspétait contre les couvertures
trop petites que les autres lui avaient laissées. Soudain, Dartakyo n’y tenant plus, il se retourna vivement et fit
face à Toshiaramis. « Tu sais Totchi, il y a quelque chose qu’il faut que je te dise…
Et tu étais obligé de me foutre un pain dans la gueule pour me le dire ? » Dartakyo adorait la délicatesse
de Toshiaramis « Oups, désolé, j’avais pas vu…
_ C’est pas grave, continue
_ Et bien c’est que… tu vas me prendre pour un fou mais…
_ T’inquiète pas pour ça, c’est déjà fait
_ Ouf !
ça me rassure ! répondit Dartakyo, visiblement soulagé. Bref, Toshiaramis, je voulais simplement te dire que j’adore
être avec toi, j’aime encore plus être collé à toi, comme ce soir et je t’avouerais que je pense souvent à toi…
plus que si je te considérais simplement comme un ami… » Dartakyo avait prononcé ces
paroles de plus en plus bas et il avait plus soufflées que prononcées sa dernière phrase. Pourtant Toshiaramis l’avait
parfaitement entendue et il regardait attentivement le petit mousquetaire dans
les yeux, seule partie de son corps qui semblait ne pas rougir. Il aurait été incapable de répondre quoi que ce soit de censé,
alors il fit ce que sa logique le poussait à faire. Il approcha doucement sa bouche des lèvres de Dartakyo et y déposa un
baiser. Il s’appètait à reculer sa tête, étonné que le petit blond ne réponde pas à son invitation, lorsque ce dernier
entoura son cou de ses bras et ouvrit un peu plus la bouche pour que leurs haleines se mêlent et que leurs langues se découvrent
petit à petit, explorant plus profondément la gorge de leur nouvelle conquête. Sentant que le désir était aussi fort chez
son amant que chez lui, Toshiyaramis se déplaça et s’allongea sur Dartakyo qui ne broncha pas. Le petit blond passa
une main sur la joue du grand brun avant de déboutonner lentement la chemise de son amant. Toshiaramis l’aida à retirer
sa chemise avant de lui enlever la sienne à son tour. Il recommença à embrasser son amant, puis il approcha sa bouche de son
oreille et la lui mordilla tendrement avant de descendre dans le creux de son cou. Il laissa plusieurs marques sur son passages,
traces de dents ou suçons qui provoquaient des gémissements plus forts chez Dartakyo. Il prit son temps sur le torse
blanc du chanteur qui récupérait sa voix peu à peu. Il s’amusa à lui mordiller les deux boutons
de chaire rose qui troublaient l’harmonie parfaite de son corps laiteux. Lorsqu’il descendit jusqu’à son
nombril, Toshiaramis sentit le petit corps de son amant se cambrer vivement. Il enleva alors rapidement le pantalon du petit
blond avant d’entourer sa taille de ses mains et de le faire gémir du mieux qu’il pouvait.
***
La nuit avait été longue pour les deux hommes. Dartakyo se réveilla dans les bras de Toshiaramis, gêné comme
il l’avait prévu par ses ronflements sonores. Il se retourna pour faire face à son amant, le contempla plusieurs minutes
et lui sourit quand il se réveilla enfin. Ils s’embrassèrent tendrement et Dartakyo se redressa, se rhabilla et se leva,
ne laissant pas le plaisir à son amant de le voir nu à la lumière du jour. Parce qu’il faisait bien jour ! Et ils
l’apprirent vite sans le vouloir, grâce à Dayatos qui leur brailla dessus dès qu’il reprit le contrôle sur lui-même,
plus que surpris de les voir sortir de la même tente. Ils se préparèrent vite et remontèrent sur leurs montures respectives,
Dartakyo grimaça un peu en se mettant en selle. Il avait mal à l’arrière train mais ce n’était pas à cause de
son étalon. Enfin, de son cheval… Mais il n’en laissa rien paraître devant ses amis. Ils continuèrent leur route
pendant plusieurs jours, ne s’arrêtant qu’à la tombée de la nuit, et repartant le matin, dès que Dartakyo et et
Toshiaramis émergeaient de leur nuit. Ils semblaient bien plus fatigués le matin que le soir mais ni Kaoportos ni Dayatos
ne leur fit la remarque. Un jour, ils aperçurent un château au loin. Manquant de ravitaillement et le sens de l’orientation
de Dartakyo les ayant aidé à se perdre, ils décidèrent d’aller demander de l’aide aux occupants. Lorsqu’ils
arrivèrent devant le pont-levis en bois vermoulu, ils appelèrent. Un garde leur fit face et leur demanda ce qu’ils désiraient.
« Nous voudrions un peu de beurre, du sel et des œufs, nous n’en avons plus assez pour faire des crêpes »
répondit toshiaramis de sa plus douce voix devant quatre hommes qui le dévisageaient ostensiblement.
« Rohhh ! mais vous êtes bêtes ou quoi !? On voudrait passer une nuit ici et nous y restaurer si c’est
possible avant de reprendre notre route. Nous sommes perdus et fatigués.
_ Je vais voir si c’est possible. Attendez ici
_ D’accord ! répondit le grand brun avec un grand sourire. »
Ils regardaient encore Toshiaramis, incrédules en repensant à la scène qui venait de se produire.
Le garde revint « Mon maître dit que vous pouvez passer la nuit dans sa demeure et que si vous désirez
manger quelque chose c’est possible à la condition que vous repartiez dès demain.
_ Excellent ! Très bien, nous acceptons ! s’empressa de répondre Dartakyo
affamé »
***
« ça n’est pas très accueillant comme endroit je trouve…
_ Pfff ! On s’en fout du moment qu’il y a à manger !
répondit le petit blond à Kaoportos qui frissonnait en regardant les immenses murs de pierres
_ Hummm, Darty, tchu pfeu mpfassé lchel chteupflé ?
_ Heu, Toshiaramis, tu peux répéter le surnom ridicule que tu viens d’employer s’il te plait !?
demanda Dartakyo avec une expression meurtrière sur le visage
_ Darty pourquoi ? l’expression naïve sur le visage du
grand brun confirma à Dartakyo qu’il n’avait pas conscience de son erreur. Il lui balança
le sel en pleine face pour se venger. Toshiaramis, pas décidé à se faire mater par un nain, même si c’était le sien,
se leva, un énorme pichet d’eau à la main et s’approcha dangereusement du petit blond. Ce dernier s’enfuit
en courant dès qu’il comprit ce qui allait lui arriver s’il restait assis. Il grimpa des tas d’escaliers,
tourna à chaque déviation possible et pensait avoir semé son amant dans ce labyrinthe. Pourtant, dès qu’il s’appuya
à un mur, son visage brûlant collé aux pierres froides il sentit un souffle chaud dans sa nuque. Un filet d’eau gelé
lui parcourant la colonne vertébrale le rassura, il pensait être tombé sur le propriétaire des lieux et il n’avait pas
envie de le rencontrer seul. Il lui parut donc tout à fait normal de remercier son amant d’avoir été lui et non pas
un autre en l’embrassant tendrement. Ils étaient arrivés à un stade de déshabillage avancé quand ils entendirent leurs
deux amis les appeler. Ils se dépêchèrent de remettre leurs vêtements et coururent jusqu’à leurs amis de peur de ne
pas retrouver leur chemin dans ce gigantesque manoir. Ils arrivèrent devant un Kaoportos et un Dayatos hilares. « Quoi ?
Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Dartakyo
_ Vous verriez votre allure !!! s’exclama Kaoportos
_ Vous pourriez pas attendre d’être dans un lit pour faire vos cochonneries !?
ajouta Dayatos, littéralement écroulé de rire
_ …………….. répondit Toshiaramis extrêmement gêné devant
ses amis
_ d’abord… On n’avait encore rien fait ! Alors vos remarques… Vous pouvez vous les
mettre là où je pense ! rétorqua Dartakyo, faussement fâché.
_ Ouais bon, ils ont pas besoin des détails je pense Darty… » il regretta
vite de l’avoir appelé comme ça, ne voulant pas blesser son amant. Pourtant celui ci ne dit rien, ne voulant pas gâcher
la soirée par sa mauvaise humeur habituelle.
***
« Je me demande pourquoi on a pas demandé une chambre séparée… se lamenta Dayatos, visiblement excédé
d’entendre les gémissements du petit blond
_ Parce que vous êtes des sales pervers !!! lança Dartakyo entre deux respirations
_ C’est nous les pervers !? personnellement, je n’en suis pas sûr »
répondit Kaoportos « si tu en es encore capable Dartakyo, réponds à cette question ‘qui est en train de se laisser
aller à une partie de jambes en l’air alors qu’il n’y a pas qu’eux dans la pièce ?’ Hein ?
Bin réponds voyons, me dit pas que tu as la bouche pleine, j’te croirais pas ! C’est pas parce que vous avez
déplié les rideaux de votre lit à baldaquin qu’on ne sait pas ce que vous faites ! » Et Kaoportos et Dayatos de
se tenir les côtes, morts de rire.
Hi hi, j’aime avoir de la fièvre, ça me donne un alibi pour écrire n’importe quoi ! ^___^
Bon, c’est pas tout ça mais un café et au lit !
La suite je la ferais demain !
(28 juillet 2004 ; 23h45 ; 40°)
yumi hu à votre service ^^
