titre : cocktail amoureux

auteur : yumi hu ^^

rating : PG 13

genre : p’tite lime… fruitée ^^’

base : Gackt, Kaoru, Toshiya, et Yoshiki (par ordre alphabétique pour pas avoir de jaloux !)

disclaimer : bin… heu… je ne demande pas à être payée pour cette fic, et je répète que c’est pas une vraie histoire (dommage…) et je ne cherche à nuire à aucun des persos. D’ailleurs, ces persos ne m’appartiennent pas. C’est ça qu’il fallait faire ? ^^’

résumé : Totchi et Yo-san ont passé la nuit dans un lit à une place O_o (mékeskizonbienpufair ???) et Gackt a passé une nuit d’amuuuuur avec l’homme de sa vie, Kaoru. Vont-ils se réveiller ou bien sont-il trop épuisés ? La réponse… tout de suite ! ^^

spoiler : bin, c’est l’histoire d’un mec qui rentre dans une bibliothèque et qui demande à la bibliothécaire

« BONJOUR ! JE VOUDRAIS UNE PAIRE DE CHAUSSURES S’IL VOUS PLAIT ! » alors la dame, très pincée, lui dit « mais monsieur, vous êtes dans une bibliothèque » « oh ! excusez-moi ! » et il chuchote le plus doucement qu’il peut « je voudrais une paire de chaussure s’il vous plait »

è__é  COMMENT CA « on la connaît déjà » ??? j’vous l’ai déjà faite dans le chapitre d’avant ???  dslée… ^^’ nan ! nan ! pas tapé tête !!!

note de l’auteur : Bon, bin c’est ma première fanfic alors je demande la grâce du Roi et de la cour… ^^;;;

Le lendemain matin, Gackt se réveilla avec les rayons du soleil qui chauffaient sa peau douce. Sans bouger, il repassa un par un tous les évènements de la veille. Soudain, il se rappela sa nuit avec Kaoru sans savoir si c’était un rêve ou la réalité. Il n’osait pas se retourner pour vérifier. Son amour était-il allongé à ses côtés ou était-il seul dans ce lit ? Seul comme chaque nuit, comme chaque nuit qu’il avait passé à attendre l’homme de sa vie. Un homme qui n’était jamais venu. Avait-il encore rêvé, comme chaque nuit ? Ou bien sa vie avait réellement changé et il avait enfin fait avancer les choses ? N’y tenant plus, il se retourna brusquement et regarda derrière lui. Il devait savoir ! Il sentit un souffle froid envahir son corps. Il n’y avait personne à côté de lui. Il se retrouvait seul dans une chambre alors qu’il ne se souvenait pas y être arrivé. Il en avait un vague souvenir, mais c’était très flou, sûrement à cause de l’alcool. Et si sa nuit n’avait été qu’un rêve, peut-être que sa soirée n’avait pas été plus réelle ! Soudain, des larmes lui montèrent aux yeux. Il voulut les retenir, mais c’était impossible, elles coulaient malgré lui et des sanglots agitaient frénétiquement ses fines épaules. Sa respiration était saccadée mais il gémissait le prénom de Kaoru. Il n’entendit pas la porte s’ouvrir mais un bruit de vaisselle s’écrasant sur le sol le sortit de ses pensées. Il n’eut pas le temps de voir qui c’était que déjà deux bras l’enlaçaient tendrement. Une voix lui chuchota :

-        Gackt, pourquoi tu pleures ? Tu regrettes la soirée d’hier ? demanda Kaoru avec un léger tremblement dans la voix

-        Oh ! Kaoru ! Non ! non, je ne regrette pas… j’avais peur… répondit Gackt en réfugiant sa tête dans les bras de son amant, je pensais avoir rêvé…

-        Calme toi, ne t’en fais pas. Je suis là, tout va bien. Tu crois que je t’aurais préparé un petit déjeuner que je t’aurais amené au

lit !? le rassura Kaoru en lui montrant la vaisselle brisée près de la porte. Il ajouta à voix basse à quel point il avait apprécié la veille. Tout en lui disant cela il lui caressait les cheveux. Gackt, rassuré par ces paroles, sécha ses larmes et ralentit sa respiration jusqu’à ce que ses épaules ne se lèvent plus brusquement. Quand il sentit que son amant s’était calmé, Kaoru l’embrassa. Ce dernier s’allongea sur le dos et entraîna Gackt avec lui, sur lui. Le chanteur était toujours nu alors que lui avait pris le temps d’enfiler un pantalon en se levant. Cette fois, il laissa à Gackt le soin de diriger. Ce dernier tira la couette au-dessus de leur deux corps, gêné par la lumière. Pourquoi Kaoru a-t-il eut besoin d’ ouvrir les rideaux ? se demanda Gackt. Et il commença par faire glisser le pantalon de Kaoru le long de ses jambes. Lorsque Kaoru se retrouva nu à son tour, Gackt dessina un cercle avec sa langue autour de son nombril. Cette peau qu’il avait tant espéré toucher un jour ! Ce ventre musclé qu’il avait tant désiré ! Ce corps qu’il avait rêvé chaque nuit ! Ce corps était enfin à lui ! Et il allait en profiter ! Mais sans se précipiter. Il continua donc un moment à lécher le ventre de Kaoru, puis il remonta doucement, progressivement, le long de son torse. Il laissa une marque rouge sur un des pectoraux finement sculptés de son amant. Finalement, il embrassa Kaoru, d’une manière faussement timide. Il sentit les mains agiles du guitariste parcourir son dos.  Elles se promenaient de sa nuque à ses flancs, provoquant un léger frisson chez Gackt à chaque fois qu‘elles descendaient un peu plus. Et plus Kaoru se servait habilement de ses mains, plus Gackt l’embrassait passionnément. La pression se faisait de plus en plus forte, de telle façon que les deux corps semblaient attirés comme des aimants. Ils se rapprochaient lentement, savourant chaque instant. N’y tenant plus, Gackt redescendit vivement le long du corps de Kaoru et glissa sa tête entre ses jambes. Ce dernier jouit si vite que Gackt fut surpris et recula vivement la tête. Ce geste eut pour effet de répandre la semence de Kaoru sur son propre ventre. Gackt s’empressa d’embrasser sa peau humide. Finalement, il se rallongea à côté de son amant, qui fut le premier à s’endormir, la tête calée entre le cou et l’épaule du chanteur. Ils ne se réveillèrent que quand un bruit de bois fendu brisa le silence de l’appartement. Kaoru enfila rapidement un tee-shirt et un pantalon pendant que Gackt s’enroula dans le drap de soie qui couvrait le lit. Ils se précipitèrent jusqu’à la chambre de Toshiya et Yoshiki. Lorsqu’ils découvrirent la scène ils explosèrent de rire. Yoshiki était allongé sur Toshiya, les jambes de ce dernier entourant les hanches du batteur. Ils étaient étalés en travers du lit. Les deux musiciens devaient être en pleine action lorsque le lit, sous le poids de leurs corps brûlants, avait cédé. La tête du lit était quasiment à la verticale. Quand Yoshiki et Toshiya prirent conscience de la scène à laquelle Kaoru et Gackt assistaient, ils se regardèrent et rirent de bon cœur avec leurs amis. Le propriétaire de l’appartement et son amant jugèrent le moment propice pour s’éclipser. Ils se rendirent directement à la salle de bain où Kaoru fit couler de l’eau pour remplir la baignoire, après avoir verser du bain moussant. Soudain, il laissa Gackt seul devant la baignoire. Ce dernier en profita pour s’inspecter rapidement dans l’immense glace qui recouvrait tout un mur. Les trois autres murs de la pièce étaient blancs, recouverts d‘énormes inscriptions noires, peintes à la main. Les suites de signes étaient en fait certaines phrases des chansons de Dir en Grey. Mais Gackt n’eut pas le temps de finir de les lire car Kaoru éteint la lumière et ferma le rideau. A partir de ce moment, la seule source de lumière de la pièce provenait des quelques rayons du soleil qui traversaient le rideau pourpre, donnant une touche romantique à la pièce. Kaoru tenait un plateau à la main. Le guitariste avait apporté différentes choses à manger, il savait qu’à part de l’alcool ils n’avaient rien ingurgité depuis la veille au soir, et il était déjà midi passé. En plus de cela, il y avait du champagne, deux coupes, des bougies, des allumettes et un morceau de tissu en velours noir. Kaoru coupa l’eau lorsque la mousse allait déborder puis, il installa les bougies partout dans la salle de bain. Leurs lumières éclairaient chaudement la pièce. Il posa le plateau sur le bord de la baignoire et s’installa dans l’eau. Gackt ne se fit pas prier et se glissa entre les jambes de Kaoru, de telle façon qu’il se retrouva dos à son amant. Il ne s’attendait pas à ce que Kaoru lui bande les yeux avec l’étoffe noire mais il se laissa faire. Le guitariste lui proposa délicatement tour à tour des fraises, du mutella, du  citron, des morceaux de pomme et du champagne. Il ne disait jamais ce qu’il allait lui faire avaler, lui posant la nourriture en question sur le bord des lèvres. Mais à chaque fois que son amant allait accepter d’y goûter, il en avalait un peu, avant de la laisser à Gackt qui la savourait. Puis Kaoru lui enleva son bandeau. Le chanteur changea de position pour se retrouver à quatre pattes sur son amant. Ils s’embrassèrent longuement ainsi, le guitariste enlaçant le chanteur qui passait ses doigts dans les cheveux mouillés de son amant. Finalement, ils finirent leur bain en se lavant le dos à tour de rôle. Ils en profitaient pour caresser longuement le corps de leur moitié. Quand ils sortirent de la salle de bain habillés et coiffés, ils croisèrent Toshiya qui courait, des vêtements plein les bras. Quelques secondes plus tard, Yoshiki se lança à sa poursuite, complètement nu. Ils comprirent que Toshiya avait subtilisé les vêtements du batteur quand ils entendirent ses cris à moitié étouffés par un coussin. Il bafouillait des excuses pendant que Yoshiki, assis sur lui avec un oreiller dans les mains lui couvrait brièvement le visage. Il n’arrêta que quand il jugea que les excuses prononcées par son ami lui parurent suffisantes. Finalement ils se réconcilièrent dans un baiser passionné. Après cette trêve ils allèrent dans la salle de bain pour prendre une douche ensemble. Ils restèrent si longtemps enfermés dans la salle d’eau que, quand ils sortirent, il était déjà cinq heures. Pendant ce temps, Gackt et Kaoru s’étaient endormis sur le canapé en regardant la télévision. Ils ne se réveillèrent que vers dix-neuf heures trente, quand leurs amis revinrent, les bras chargés de pizzas. Ils s’assoirent tous en tailleur autour de la table basse dans le salon, à part Kaoru qui mit de la musique avant de s’installer en face de son amant. Au milieu du repas, un portable sonna. C’était celui de Yoshiki. Il regarda rapidement le nom qui s’affichait et soupira. Toshiya comprit tout de suite qui appelait Yoshiki. Il attrapa le téléphone et décrocha avant que le batteur n’ai pu réagir.

-        Moshi moshi ? lança Toshiya avec un grand sourire

-        *Yoshiki ?* demanda la voix à l’autre bout du fil

-        Non, répondit Toshiya faussement désolé

-        *Je voudrais parler à Yoshiki*

-        C’est  de la part de… ?

-        *Dès qu’il m’aura parlé il saura qui je suis, passez le moi s’il vous plait !*

-        On peut se tutoyer tu sais ! On a un super point commun depuis cette nuit ! s’exclama Toshiya en adressant un clin d’œil à ses deux amis qui n’avaient pas encore compris de qui il s’agissait

-        *Ah oui ? lequel ?*

-        Yoshiki voyons ! D’ailleurs, je ne comprenais déjà pas comment tu avais pu le tromper quand on était seulement amis, mais encore moins depuis que j’ai passé une nuit… FORMIDABLE avec lui ! Yoshiki rougit légèrement à cette phrase

-        *Comment-ça ?*

-        Quoi ? t’as pas compris ? Yoshiki t’a oublié et désormais il est à moi ! Seulement depuis hier soir, je l’avoue, mais il est à moi ! Du moins, tout le temps qu’il souhaite, mais en aucun cas tu ne pourras le retoucher un jour ! Et franchement, tu loupes quelque chose ! Je savais déjà qu’il était… parfait sur le plan intellectuel ! Mais sur le plan sexuel… c’est un fantasme vivant !!!

-        *Quoi ? Je… mais ! T’es un mec !*

-        Oui ! Lança Toshiya dans un éclat de rire cinglant, enfin je crois. Yoshiki pourra sûrement confirmer, ajouta-t-il avec un sourire coquin adressé à son amant

-        *Mais… enfin ! Pas Yoshiki !*

-        COMMENT CA « pas Yoshiki » !? S’écria Toshiya. Tu penses sincèrement qu’il préfère perdre son temps avec n’importe quelle bonne femme comme toi plutôt que de prendre son pied avec un mec super disons… comme moi !

-        *Non, enfin… Je l’aime moi !*

-        ET PAS MOI ? C’EST CA ? ET BIEN SI ! JE L’AIME !

Et il lui raccrocha au nez. Il avait prononcé sa dernière phrase tellement fort que les trois hommes le dévisageaient, surtout Yoshiki qui ne devait pas s’attendre à une telle déclaration à ce moment là.  Sur ce, il rendit son téléphone à son amant et l’embrassa, tout en lui caressant les cheveux. Puis, ils mirent les cartons vides à la poubelle et rangèrent rapidement les coussins et les couvertures qui traînaient. Ensuite Gackt et Kaoru dirent au revoir à leurs amis qui allaient passer la nuit chez Yoshiki. Ils quittèrent l’appartement de Kaoru en se tenant la main, Toshiya tout excité à l’idée d’aller chez son amant. Quant à Gackt et Kaoru, dès que la porte d’entrée fut fermée, ils se ruèrent sur le lit du guitariste. Gackt arriva le premier mais Kaoru, qui avait mal calculé son coup, lui sauta dessus. Le chanteur reçut le coude de son amant dans le bas du ventre et des larmes lui montèrent immédiatement aux yeux. Il se roula en boule sur le côté en repoussant Kaoru. Ce dernier, gêné comme il ne l’avait jamais été, ne savait plus où se mettre. Il bafouillait, essayait de s’excuser mais le peu de mots qui sortirent de sa bouche étaient incompréhensibles. Gackt se forçait à respirer profondément et retenait des gémissements de douleur. Kaoru essaya de détendre l’atmosphère en faisant semblant de s’assommer de coups et de déchirer ses vêtements. Il y parvint : Gackt esquissa un bref sourire. Il fit de son mieux pour conserver ce sourire sur le visage de son amant en s’insultant à voix haute. Il atteint son but, Gackt ne put étouffer un éclat de rire. Puis, avec un petit sourire coquin, Kaoru dit :

-        Comment est-ce que je pourrais me faire pardonner ? et il fit semblant de chercher

-        Du moment que tu arrives à me faire oublier mon horriiiiible souffrance, tu as carte blanche. En disant cela, Gackt ne savait pas encore ce qui allait lui arriver !

En entendant ces mots, Kaoru sortit de la chambre en trombe et revint, quelques secondes plus tard, avec de la chantilly et des cerises. Il déshabilla Gackt, lui dit de s’allonger sur le dos et, surtout, de se laisser faire. Il répartit de la chantilly sur le visage, les bras, le torse, le ventre et les jambes du chanteur. Sans oublier de recouvrir sa hampe. Ensuite, il posa des cerises sur tout son corps. Une sur chaque œil, une sur la bouche, une à la place de chacun de ses tétons durcis au contact de la chantilly glacée, une sur son nombril, une autre à l’endroit endolori du chanteur et quelques-unes plus bas, autour de son membre viril, qui commençait déjà à se raidir.  Le guitariste entama la chantilly par le poignet de Gackt, léchant sa peau sucrée même s’il ne restait plus rien à avaler. Quand il en eut fini avec son bras, Il passa sa langue dans le cou du chanteur. Ensuite il lui lécha le visage, avalant les cerises de ses yeux au passage, gardant celle de la bouche pour la fin. Il en profita pour l’embrasser. Lorsque leurs langues se rencontrèrent, Gackt sentit la douceur de la chantilly envahir sa gorge. Kaoru fit subir le même sort au second bras et lécha le torse de son amant avec passion. Puis, il descendit et avala la 6^ème cerise, celle qui recouvrait le nombril du chanteur. Lorsque le ventre de Gackt se retrouva nu, Kaoru continua sa descente en évitant soigneusement l’entrejambe du chanteur. Ce n’est qu’après avoir avalé toute la chantilly des jambes de Gackt qu’il avala les quelques cerises qui restaient. Il s’appliqua à lécher le point sensible du chanteur et il finit par le mettre dans sa bouche. Lorsqu’il entendit son amant soupirer de plaisir, Kaoru s’allongea à côté de lui et lui déposa un baiser sur la joue. Gackt avait totalement oublié sa douleur dans le bas du ventre et ne pensait qu’à la chaleur qui envahissait ses reins. Dans un soupir d’extase il souffla à son amant :

-        Koisuru Kaoru

-        Moi aussi je t’aime

Tout en parlant Kaoru s’était allongé sur Gackt et avait glissé ses jambes entre les cuisses de son amant, qui se cambrait déjà de plaisir. Après ce dernier effort, Gackt se roula en boule, le dos collé contre le ventre de son amant qui lui caressait tendrement les cheveux. Et ils s’endormirent, épuisés, leurs deux corps serrés, sans penser au lendemain, tout simplement heureux d’aimer et d’être aimé.

                                                                                                                        Yumi hu

Bon, bin j’vais m’arrêter là…

*heureuse d’avoir terminé quelque chose au moins une fois dans sa vie* en 10 jours seulement en plus !!! Cool, je ne suis pas un cas désespéré ! lol quoique… Bon, la prochaine fois ça sera un peu moins… ou un peu plus… enfin mieux quoi !